Analyse : les suspects du scandale de corruption à Bruxelles continuent de nuire à la réputation du Parlement européen.

Analyse : les suspects du scandale de corruption à Bruxelles continuent de nuire à la réputation du Parlement européen.

Des suspects du scandale de corruption de Bruxelles ont pu s’exprimer au Parlement européen sur les règles déontologiques fixées par les institutions européennes, fragilisant encore plus le jugement du Parlement européen – c’est-à-dire que le junior Zoltán Lomnici s’est exprimé sur M1. Le consultant de Századvég estime qu’il est absurde que des politiciens soupçonnés d’accepter des pots-de-vin puissent encore participer aux travaux des organes décisionnels. Selon les médias, outre le Qatar et le Maroc, la Mauritanie a également payé les acteurs de l’affaire.

Dans ce pays d’Afrique dont la majeure partie est le Sahara. L’esclavage n’a été officiellement aboli qu’en 1981, mais il n’a été puni qu’en 2007. La Mauritanie appartient à la région dite du Sahel au même titre que le Niger, où il y a actuellement un coup d’État. En raison de l’environnement invivable, un tiers des cinq millions d’habitants s’entassent dans la capitale, au sud du pays islamique, ou tentent de rejoindre l’Europe en atteignant les îles Canaries avec l’aide de passeurs. La Mauritanie est l’un des principaux pays d’origine de la migration africaine.

La Mauritanie a pu soudoyer des politiciens bruxellois de haut rang avec 200 000 euros en trois ans – Politico a écrit à ce sujet, se référant à une confession divulguée.

Certains des protagonistes du scandale de corruption bruxellois figurent parmi les politiciens liés à la corruption. Selon les nouvelles, le pays d’Afrique de l’Ouest a versé des pots-de-vin en plusieurs versements à Pier Antonio Panzeri et à son bras droit, Francesco Giorgi.

Source: hirado.hu

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