Sidi Ould Tah : Leader Visionnaire pour une Banque de Développement Audacieuse
L’Afrique n’a pas besoin d’un président de la BAD de plus. Elle a besoin d’un dirigeant à la hauteur de ses aspirations : Sidi Ould Tah incarne cette exigence.
À la croisée des crises climatiques, des besoins de financement massif, et des attentes pressantes de sa jeunesse, notre continent doit pouvoir compter sur sa Banque de Développement forte, lucide et indépendante.
Et cela commence par un choix de leadership.
Je soutiens la candidature de Sidi Ould Tah à la présidence de la BAD. Ce soutien ne relève pas seulement d’une affinité, mais d’une exigence de cohérence. Il incarne le profil dont notre institution a besoin : fédérateur, aguerri, enraciné sans repli, neutre sans ambiguïté et présent là où cela compte.
Avant de prendre la tête de la BADEA en 2015, Sidi Ould Tah a représenté la Mauritanie auprès de la BAD, de la Banque mondiale, de la BID et du FADES.
Il a également été ministre de l’Économie et conseiller à la présidence.
Sous sa direction la BADEA a changé d’échelle. Elle est passée d’un volume annuel d’engagements de 200 millions à plus de 2 milliards de dollars.
Elle est aujourd’hui active dans plus de 44 pays, finance des projets structurants, et a multiplié ses partenariats stratégiques.
La BADEA a été èlue meilleure institution de développement de l’année par African Banker. Elle a reçu le prix de l’institution multilatérale panafricaine de l’année. Elle est devenue la deuxième banque multilatérale de développement la mieux notée d’Afrique, avec des notations exceptionnelles : Aa1 (Moody’s), AA (S&P Global), AAA (JCR) — une dynamique et efficacité rarement égalée.
La candidature de Sidi Ould Tah n’est pas portée en silence. Elle bénéficie d’un soutien clair, cohérent et transversal.
La Mauritanie l’a officiellement investi, avec l’appui personnel du président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, dont la gouvernance souveraine est fédératrice et inspire le respect.
La Côte d’Ivoire (soutien engagé d’Alassane Ouattara), les pays du Maghreb, la Guinée-Bissau, plusieurs pays de la CEDEAO, ainsi que des personnalités influentes du secteur financier soutiennent sa candidature.
Elle fédère, parce qu’elle repose sur un bilan solide, une stature internationale maîtrisée, une méthode, et une indépendance d’esprit précieuse.
Face à des profils surexposés, alignés ou clivants, Sidi Ould Tah incarne une voie différente : la rigueur, la transformation et l’action concrète.
Dans ce moment stratégique pour la BAD et pour l’Afrique, je crois qu’il est de notre responsabilité de soutenir cette candidature, solide, enracinée, indépendante et tournées vers l’impact.
Je vous invite à la soutenir avec fierté et engagement. Parce que la BAD mérite mieux qu’un compromis : elle mérite un bâtisseur.
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Khaled Ebnou Abdem
Banquier africain engagé