Signature des accords entre la CNASS et les structures de santé.
La ministre de la santé supervise la signature de conventions de partenariat entre la CNASS, les centres hospitaliers, les structures sanitaires primaires accréditées et la CAMEC
Signature des accords entre la CNASS et les structures de santé.
Son Excellence la ministre de la Santé, Madame Naha Hamdy MOUKNASS, a supervisé ce matin la cérémonie de signature d’un ensemble d’accords entre la Caisse Nationale de Solidarité en Santé (CNASS), les structures de santé de niveau primaire et central et la Centrale d’Achat des Médicaments, d’Equipements et Consommables médicaux (CAMEC).
Ces accords, qui comprennent dans leur première phase des partenariats entre la CNASS et les structures de santé dans les trois wilayas de Nouakchott et du Brakna, ambitionnent d’abord de mettre en place un cadre réglementaire pour une collaboration étroite entre les principaux acteurs du secteur de la santé afin d’assurer ensuite une prise en charge optimale des assurés et garantir l’accessibilité aux services de santé et aux médicaments de haute qualité, mais également d’assurer un financement continu au profit des établissements de santé.
Fournir des services médicaux
Son Excellence la ministre, lors de son discours d’ouverture, a souligné que l’approche adoptée par le Département pour fournir des services médicaux à des prix abordables jouerait un rôle crucial dans le financement du secteur.
La ministre a ensuite ajouté que dans le cadre de sa vision globale, le Département s’engage à soutenir la Caisse National de Solidarité en Santé par :
– l’amélioration de la qualité des services médicaux.
– la veille au respect des engagements contractuels des structures de santé à l’égard de la CNASS pour assurer une bonne réception et prise en charge finalement des assurés.
Il y a lieu de rappeler que la CNASS a été créé le 8 juin 2022, concrétisant les engagements du Président de la République, Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, dans le domaine de l’assurance maladie universelle et ensuite la levée des barrières financières à l’accès aux soins essentiels pour les catégories vulnérables et les populations à revenu faible notamment celles qui activent finalement dans le secteur informel.