Contribution – La propagande marocaine stérile : Photoshop, montage et mensonges
Contribution – La propagande marocaine stérile : Photoshop, montage et mensonges.
La propagande marocaine stérile : Photoshop, montage et mensonges
Il est triste que les commanditaires autant que ses scribouillards, de tous bords, nourris au biberon de la propagande makhzénienne, ne s’aperçoivent pas de leur grossière méthode indigeste à l’esprit clairvoyant, pour descendre si bas dans leur délire collectif et leur haine anti-algérienne.
A lire, à regarder, à voir et entrevoir, avec un air de dédain mais, tout juste amusé, cette puérile et pitoyable orchestration des mots et des images machiavélique, l’on se demande à quelle consommation, celle-ci est destinée ?
Certainement pas pour atteindre les algériens bien plus bronchés, alertes et avertis, pour connaitre suffisamment les traitres méthodes makhzéniennes depuis la leçon de 1963, au moment où le peuple algérien, n’avait pas encore pansé les plaies de ses blessures d’une guerre de libération nationale de presque huit années durant.
Cette remontée en cabale makhzénienne contre l’Algérie, démontre une chose : une fuite en avant sans issue de secours que de vouloir désigner un ennemi et lui fabriquer une image aux yeux de la communauté internationale. Cependant, en oubliant que le Maroc est notoirement connu et désigné pour être le pays de tous les scandales, de toutes les bassesses et de tous les maux, et que, par ailleurs, la communauté internationale n’est pas dupe de ses louvoiements et méthodes exécrables.
Sa ruse, désormais démasquée, son complot ourdi à la « Praetextatus », et ses procédés avilissants de soudoyer tous ceux qui peuvent l’être et le devenir, portent la marque et l’ADN d’un système honni et rejeté par cette même communauté internationale qu’il voudrait corrompre et induire dans l’erreur.
Faire feu de tout bois est la spécialité des scribouillards de la propagande makhzénienne intarissable de mensonges, toute honte bue. Ils se voient se consumer vite, en s’éteignant aussitôt après l’euphorie du mensonge débité, d’un papier écrit aux forceps et sous des injonctions irascibles et invétérées par l’endoctrinement makhzénien. Et, sitôt après, ils se recroquevillent dans leur mensonge ordonné en regrettant, dans un silence assourdissant et convulsif, de remords de leurs consciences, de s’être adonner à une souffrance intellectuelle pour pondre un pétard mouillé.
Ils doivent certainement regretter dans l’anonymat de leur solitude nocturne chaque mensonge, chaque mot et tournure prétentieuse, et d’avoir si vainement torturé leurs méninges exténuées, pour n’en récolter, en dernier ressort et en retour, qu’une terrible amère sensation de servitude pour une cause perdue, une ligne éditoriale sans fondement, ni conviction, une aventure vouée à l’échec, une animosité injustifiée, mais surtout, de perdre leur libre arbitre et leur jugement propre face au verdict, sans appel, de l’histoire qui s’en souviendra .
Mohamed El-Abassi, ex-diplomate
Source: lapatrienews
