Seyidna Ali Ould Mohamed Khouna incarcéré à Riyad : escalade politique en Mauritanie
L’opposant Seyidna Ali Ould Mohamed Khouna incarcéré à Riyad, Nouakchott. Une décision qui ravive tensions et colère en Mauritanie.
Seyidna Ali Ould Mohamed Khouna à Riyad : la folie continue, la Mauritanie brûle !
Une escalade de ouf, un truc qui fout la trouille !
L’opposant Seyidna Ali, encore en contrôle judiciaire, est balancé en prison à Riyad, un quartier populaire à Nouakchott, pas la capitale saoudienne. Ouais, vous avez bien entendu. La justice mauritanienne a décidé de l’envoyer là-bas. La tension est à son max, c’est chaud patate.
Du Hodh Ech-Charghi à Riyad, c’est la descente aux enfers.
Rappelle-toi, ça a commencé en mai.
Le 18 mai, ils l’ont arrêté. Bam ! Juste après la condamnation de l’ancien président Aziz. La tension dans le pays, c’est plus qu’un feu de paille.
Et lui, il est accusé de tout, le gars :
– Incitation à la violence
– Atteinte au symbole national
– Dénigrement de la justice
– Diffusion de fausses infos
– Diffamation des autorités
– Haute trahison, ouais, le gros lot.
Après 8 jours en garde à vue, il s’en sort avec un contrôle judiciaire. Pas en prison, mais sous surveillance. La justice le contrôle, c’est ce qu’ils disent.
Mais voilà que ça dégénère.
Dans le Hodh Ech-Charghi, il se fait arrêter encore une fois.
Il aurait quitté Nouakchott, alors qu’il était sous contrôle judiciaire. La justice hurle à la violation, la défense crie à la manipulation.
Ils disent que son contrôle avait expiré, qu’il pouvait bouger comme il voulait. La justice le tente, la justice le piétine ?
Et tout ça, à cause d’un truc :
Il avait balancé, en vidéo, que le Mali voulait voler nos terres. Pas de quoi faire un scandale, non ? Mais le pouvoir, il a pris ça comme une insulte nationale. La haine, la peur, la colère, ça monte…
Seyidna Ali, il ne lâche rien. Il raconte tout, dénonce l’autoritarisme, la prison, la censure.
En Mauritanie, c’est la loi du plus fort.
– Ne quitte pas la zone, sinon, c’est la prison.
– Tu dois te présenter régulièrement, sinon, c’est la fête.
– Tu ne peux pas dire ce que tu veux, sinon, c’est la fin.
Et si tu ne renouvelles pas la mesure ? C’est fini, c’est caduc. Mais la justice, elle, manipule, dit la défense. Pour faire taire l’opposition.
Et la Mauritanie, elle brûle déjà.
Le pouvoir, il serre la vis après sa réélection en 2024. La justice, c’est une marionnette.
Les opposants ? Ils sont muselés, disparus ou en taule.
Les régions ? Marginalisées, oubliées. La colère monte, ça gronde dans l’Est, ça veut tout casser.
Libertés publiques, c’est du passé. La Media Foundation, elle voit tout.
Des arrestations pour « atteinte à l’État » ou « fausses nouvelles » … Vague, floue, extensible. La peur s’installe.
Et là, ils envoient Seyidna Ali à Riyad.
C’est l’escalade, c’est la guerre totale. La lutte entre le pouvoir et ses opposants, ça n’arrêtera pas.
Pour ses supporters, c’est la criminalisation de la contestation.
Pour ses détracteurs, c’est la survie d’un régime qui veut tout contrôler, tout museler.
Quoi qu’il arrive, cette histoire, elle va faire du bruit. La rentrée 2025, elle s’annonce explosive.
Et ça, c’est pas prêt de s’arrêter.
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