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PROJET BIRAM 2024 : lutte contre la pauvreté

PROJET BIRAM 2024                                                                                                             article sponsorisé

lutte contre la pauvreté

La pauvreté récurrente de la population, alors que des ressources importantes sont allouées à des dépenses telles que les voyages officiels (avec d’importantes délégations transportées, logées, nourries et payées aux frais du contribuable), dont les justifications défient souvent toute rationalité. Tout cela témoigne du décalage tragique entre les dirigeants du pays et les priorités d’un peuple qui attend avant tout que l’on réponde à ses besoins fondamentaux et vitaux. Ces besoins sont connus : l’éducation pour tous, une vie décente pour tous, des emplois surtout pour les jeunes, de l’électricité en continu accessible à tous, de l’eau potable pour tous, un toit décent et non inondé, l’accès aux soins médicaux pour tous, surtout pour les femmes qui meurent tragiquement chaque jour en couches et pour les enfants qui périssent quotidiennement de la malaria, l’accès pour tous à une éducation décente et à un système d’infrastructures performant, de base et non de luxe, car les Mauritaniens, pour peu qu’ils soient consultés, auraient presque unanimement préféré l’achèvement ou la réhabilitation de toutes les grandes infrastructures routières pour désenclaver les régions, ou la construction de grandes routes et de pistes de production pour permettre l’écoulement des récoltes.

Moi Biram DAH ABEID , Président de la République, je m’engage à :

– Instaurer le revenu minimum universel : le revenu minimum universel (RMU) est une proposition de politique sociale qui garantirait à chaque individu, quelle que soit sa situation économique, un revenu de base. L’idée est de fournir à tous les citoyens un montant d’argent régulier, sans condition ni obligation, pour subvenir à leurs besoins fondamentaux tels que la nourriture, le logement et les vêtements. Cette proposition suscite des débats animés, avec des partisans argumentant qu’elle pourrait réduire la pauvreté, favoriser l’entrepreneuriat et fournir une sécurité financière à tous, tandis que ses détracteurs soulignent des préoccupations concernant les coûts financiers, les effets sur la motivation au travail et les implications pour le système de protection sociale existant. Des expériences pilotes et des études sont en cours dans plusieurs pays pour évaluer les implications et les impacts potentiels d’un revenu minimum universel ;
– Sensibiliser et prévenir : mettre en place des campagnes de sensibilisation dans les régions les plus touchées afin d’informer les communautés sur les problèmes auxquels les personnes vulnérables sont confrontées et les ressources disponibles pour les aider.

– Favoriser l’accès à l’éducation : développer des programmes d’éducation spécifiques pour les enfants issus de milieux défavorisés, en veillant à ce qu’ils aient accès à une éducation de qualité et à des ressources pédagogiques adéquates ;
– Favoriser l’Accès à la santé : améliorer l’accès aux soins de santé de base en renforçant les infrastructures de santé dans les régions les plus démunies, en fournissant des médicaments essentiels et en formant le personnel médical local ;
– Lutter contre la pauvreté : mettre en place des programmes de microcrédit et d’entrepreneuriat pour permettre aux personnes vulnérables de développer leurs compétences et de générer des revenus durables ;

– Mettre en place une assistance alimentaire : établir des programmes d’aide alimentaire pour les personnes les plus démunies, en collaboration avec des organisations humanitaires locales et internationales ;
– Protéger des droits : renforcer les mécanismes de protection des droits des personnes vulnérables, en particulier les femmes, les enfants et les personnes à mobilité réduite, en mettant en place des systèmes de prévention et de signalement des abus ;
– Favoriser l’Insertion sociale : mettre en place des programmes visant à faciliter l’intégration sociale et professionnelle des personnes vulnérables, en leur offrant des opportunités de formation et d’emploi ;
– Renforcer des capacités : former les acteurs locaux et les institutions gouvernementales sur les questions liées aux personnes vulnérables, afin de renforcer leurs capacités à mettre en œuvre des politiques et des programmes efficaces ;
Ces mesures pourraient constituer une base solide pour un plan Marchal visant à aider les personnes vulnérables en Mauritanie. Toutefois, il est important de prendre en compte les spécificités de la situation locale et de collaborer avec les acteurs concernés, telles que les organisations non gouvernementales, les agences gouvernementales et les communautés locales, afin de s’assurer de l’efficacité et de l’impact de ces interventions.

Le financement de nos engagements :

Nous allons financer tous nos engagements par la bonne gestion du budget de l’Etat, les revenus de l’exploitation de nos ressources naturelles : les mines qui ont rapporté 128 millions de dollars cette année, les hydrocarbures, le poisson, les recettes fiscales des grandes entreprises qui aujourd’hui ne paient pas d’impôts. Comme tout pays normal, et sans parler du fait qu’avec une bonne gestion financière, notre capacité d’endettement ne sera plus limitée par le FMI, comme c’est le cas actuellement après 10 ans de dictature triomphante. Les exemples du Ghana et du Rwanda prouvent que ce n’est qu’une question de volonté politique. Nous allons nous donner les moyens de nos ambitions.

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