La Mauritanie : réalité vs allégations — déclaration du Parti El Insaf

C’est ainsi que Biram Dah Abeid est sorti, de Bruxelles cette fois-ci, dépeignant son pays comme une prison sombre, d’époques révolues, oubliant – ou faignant d’ignorer – une vérité éclatante connue de tous, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur : la Mauritanie vit aujourd’hui son âge d’or démocratique.

Celui qui qualifie la Mauritanie d’aujourd’hui de « pays raciste » et la compare au système d’apartheid d’antan peut être taxé de raciste lui-même ou d’individu qui ignore l’histoire de ce pays dont les artistes et les poètes ont chanté autrefois pour dénoncer l’abject système et dont le passeport portait, en gras, la mention « Interdit d’entrée en Afrique du Sud », à l’époque où le régime de ségrégation raciale y régnait.

Qui classe les enfants de Mauritanie sur la base de la couleur, de l’origine et même des zones de résidence ?

Qui a incité à se soulever contre le pouvoir élu ?

Qui s’entête à revendiquer, sans preuves, son succès aux élections présidentielles ?

Qui prétend être privé de la légalisation d’un parti politique sans prendre la peine de déposer un dossier auprès de l’autorité de tutelle ?

Cette personne-là se connait et est connue de tous les Mauritaniens.

Les marques de concorde à travers une vision commune au service de la Mauritanie et par le dialogue politique auquel les forces politiques mauritaniennes (partis de la majorité et de l’opposition, et organisations de la société civile), s’apprêtent à s’engager, en réponse à l’invitation de Son Excellence le Président de la République traduisant la fidélité à un engagement électoral, ont réveillé une ancienne nostalgie chez Biram, celle de semer la discorde, de susciter la crise et de chercher le soutien de l’étranger en criant aux portes de ses institutions dans une scène mélodramatique qui n’a rien à voir avec la bienséance morale et politique.

La Mauritanie d’aujourd’hui n’est pas une œuvre de fiction, mais une réalité tangible, mesurable par des chiffres, des politiques et une justice sociale qui n’est plus un vain mot pour ceux qui étaient condamnés au silence, après avoir été traduite en actes par les politiques du Président de la République avec la création de l’agence TAAZOUR qui a assuré les malades et pris soin des nécessiteux dans chaque coin et recoin de notre chère patrie, en sus d’autres actions sociales de grande importance pour les Mauritaniens, notamment les couches les plus vulnérables.

Ce ne sont pas là des promesses électorales, mais des faits concrets dont témoignent chaque citoyen et le monde entier.