Mauritanie : de grands projets retardés !
Mauritanie : de grands projets retardés !
Pas un gros projet ! Aucun progrès n’a été enregistré ; en fait, la plupart des grands projets connaissent des retards. Cela peut avoir un impact significatif et entraîner une augmentation des coûts, une réduction de la productivité et un retard dans les flux de revenus. Lorsqu’ils augmentent, les coûts peuvent contraindre les budgets et avoir un impact sur la viabilité financière. C’est pourquoi il est important de gérer efficacement les retards afin de minimiser leur impact sur les projets.
Le Premier ministre, M. Mokhtar Ould Diay a présidé une réunion du comité ministériel chargé de superviser les grands projets.
La réunion a examiné l’état d’avancement de la mise en œuvre de ces projets par rapport à la réunion précédente, ainsi que le niveau d’avancement de la mise en œuvre et les indicateurs d’achèvement des travaux par rapport aux délais impartis à ces projets.
Dans son discours, le Premier ministre a souligné la nécessité de lancer des mécanismes de contrôle et de suivi pour améliorer la mise en œuvre de ces projets, conformément aux instructions du président de la République, Mohamed Ould Cheikh El, rapporte AMI. – Ghazouani, vise à accélérer le rythme de mise en œuvre des plans de développement de notre pays grâce à des méthodes efficaces de mise en œuvre des projets de développement le plus rapidement possible.
Après discussion et délibération, le Premier ministre a chargé le Comité technique de formuler et de mettre à jour les indicateurs de mise en œuvre du portefeuille du plan de développement.
Mais la gestion des retards implique plusieurs stratégies telles qu’une planification proactive, une communication efficace, la tenue de dossiers et de documentation, ainsi qu’une gestion globale des risques.
Il incombe aux chefs de projet de créer un calendrier de projet complet et un plan d’urgence visant à réduire les risques potentiels et à remédier aux retards ; cette tâche ne relève pas de la compétence du gouvernement. Qu’est-ce qui a conduit le gouvernement Moctar Ould Diay à ne pas être en mesure de fournir les approbations et les exigences du projet en temps voulu dès le début, ce qui aurait pu éviter toute confusion concernant la portée des travaux et minimiser les modifications ultérieures substantielles ? Des lignes de communication ouvertes entre les parties prenantes peuvent jouer un rôle crucial pour identifier et résoudre les retards au début du cycle de vie des projets importants que de nombreux citoyens attendent avec impatience.
Redaction Rapideinfo