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Dans son programme, Magharebia a abordé les attitudes divergentes envers le nouveau projet de constitution en Tunisie, le plan américain alternatif en Libye, les craintes d’une normalisation de l’éducation au Maroc, les changements qui ont affecté le parti au pouvoir en Mauritanie, ainsi que la réalité des élites arabes en Algérie.
Monde – Maghareb

Les positions des partis et des organisations en Tunisie ont varié concernant le nouveau projet de constitution, qui sera soumis à un référendum le 25 de ce mois.

Quant à la Libye, à la lumière de l’échec de la réunion de Genève à s’entendre sur le point le plus important lié à la tenue des élections présidentielles, les discussions progressent sur un plan américain alternatif basé sur le maintien de la continuité du flux de pétrole, ce qui nécessite la stabilité politique .

Sur la question algérienne, un colloque en Algérie a fait le point sur la faiblesse des élites arabes, au milieu des interrogations sur le rôle de ces élites à la lumière des circonstances actuelles et de leurs perspectives d’avenir.

Au Maroc, l’on s’inquiète d’une pénétration israélienne des universités marocaines par le biais d’activités scientifiques et de recherche, organisées par des officiers et des dirigeants de l’armée sioniste dans un certain nombre d’établissements d’enseignement.

Et le parti au pouvoir en Mauritanie a procédé à des changements drastiques, notamment en changeant son nom en entier pour tenter d’être en harmonie avec les orientations du président « Mohamed Ould Cheikh El-Ghazouani ».
Ses nouveaux dirigeants ont besoin d’adapter les activités du parti à la vie réelle et à la performance politique qui nécessite des modifications des activités prévues pour offrir la justice nécessaire dans le cadre de l’action politique. Il a plaidé pour la nécessité de s’adapter aux nouvelles orientations.

Source:alalam

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