« Les faits sont sacrés, les commentaires sont libres »

« Les faits sont sacrés, les commentaires sont libres »
Les Mauritaniens se dirigent au vote le ⁦samedi 29 juin 2024⁩, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani sera-t-il réélu pour un second mandat, ou voit-on un nouveau président au Palais ocre? Vos commentaires!

9 commentaires

  1. L’élection présidentielle du 29 juin prochain sera historique. Le président sortant est en mauvaise posture. C’est une première où l’on voit un président de la république, candidat sortant défendre difficilement son bilan. En plus, son principal challenger Biram Dah Abeid est cette fois-ci suivi et soutenu par une mosaïque d’électeurs représentatives du pays. En termes de mobilisation sur la base des meetings, Biram est plus convaincant.
    Le président sortant est également fragilisé par la gestion du dossier de son prédécesseur et le sort qui lui a été réservé.
    Ce qui a créé beaucoup de mécontentement au sein de la nomenklatura.
    À mon avis, tout se jouera au niveau de la sécurisation des votes. L’audit du fichier électoral souhaité par une partie de l’opposition n’a pas été fait. Cela augure d’un mauvais présage. Prions pour que éviter à notre pays une crise post-électorale comme, c’est souvent le cas en Afrique.

  2. [22/06, 11:50] Mamadou Ousmane TALL: La réélection de Ghazouani est d’une impérieuse nécessité pour poursuivre ses efforts notamment sur l’unité nationale et la cohésion sociale, l’ancrage de la démocratie, les droits humains et le développement économique et social dans l’équité. 4 piliers sur lesquels il travaille pour accomplir l’émergence du pays.

  3. Bonjour ! Selon moi ,tout est possible dans cette présidentielle qui bat son plein : Un second tour tout comme une victoire au premier tour .Les électeurs saisissaient la Campagne comme une aubaine mais cette fois ,les moyens financiers tardent à venir d’où le désintérêt total et le vide au tour des sièges ou des tentes des candidats ! Est-ce une tactique ou une astuce ,attendons dans les derniers jours de la campagne pour nous projeter .Seul Allah .

  4. Nul doute de la réélection du président sortant qui a choisi ses concurrents
    A part le président du parti de Tewassoul près idéologiquement du président sortant n’aurait pu se présenter ss le parrainage des conseillers et maires soutien du président sortant
    Et la logique veut que ce parrainage soit négocié au profit du président – candidat sortant
    Sinon les autres candidats recalés faute de ce parrainage auraient bénéficier de la horde des maires (plus de 200) et les conseillers ( aux environs de 4.000)

  5. Au vu de la mobilisation , une victoire certaine et incontestable est attendue pour sa réélection inchallah avec plus de 60%

  6. Bien sûr qu’il sera élu, parce que c’est le seul qui présente un projet complet à la hauteur des enjeux du moment
    L’homme reste humble et résolument focus sur l’avenir de notre pays

  7. En tout au regard de ce que je vois , gagner au premier tour serait impossible.Mais rien est tard , les avis peuvent changer entre temps .

  8. On nous a toujours habitué une situation qui est perdre les urnes et gagner l’élection 🤥🇲🇷

  9. Pour avoir des élections crédibles, inédites et susceptibles de faire l’objet du plus grand consensus nationale et par conséquent des scrutins transparents, incontestés et objectifs, loin de tout abus administratif, excès militaire ou sécuritaire, le pays se dirige inéluctablement vers un second tour avec Ghazouani en tête, suivi avec un écart de 10% de Biram, puis Hamadi, El Id, Outouma, Bocar…
    L’opposition pourra si elle arrivera à unir ses rangs; ce qui est utopique; se frayer avec beaucoup de peine et de sang froid ainsi que d’engagement pacifique un chemin vers le palais présidentiel. Mais la problématique de s’aligner sans exception sous le candidat charismatique et populaire Biram, pour des raisons d’égo politique et de scéptiscime notamment de Tawassoul, la balance finira par basculer en faveur de Ghazouani qui aura démocratiquement mérité un second mandat avec une courte avance et du coup remporter dans la transparence des présidentielles ne faisant pas l’objet d’une large contestation
    Tout autre scénario sera inévitablement qualifié à tort ou à raison de holdup électoral et pourra être une source d’insécurité politique et de méfiance
    A bon entendeur salut

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