Les dessous du remaniement partiel

Les dessous du remaniement partiel.
L’ajustement partiel soudain qui a été annoncé il y a quelque heures portait principalement sur la sortie du ministre de l’Éducation nationale et de la Réforme du syste éducatif Adama Bocar Soko (sa sortie n’est pas liée à sa gestion du ministère de l’Éducation, selon des informations bien informées.)
Il est très important pour les autorités, et à moins d’une semaine de l’ouverture de l’école, qui connaît pour la première fois la première étape d’unification de l’accès à l’école républicaine, et dans un contexte difficile où la plupart des écoles sont dans une situation plus difficile à cause des pluies.

Le président et son Premier ministre ont trouvé ce qu’ils voulaient au nouveau ministre qui était son conseiller et il semble qu’il ait pu rapidement prendre sa place principale dans la formation du gouvernement de l’ingénieur Mohamed Ould Bilal.
Et pour confirmer que l’objectif du remaniement était uniquement la sortie du ministre Soko, tout ce qui s’est passé n’a été que de compenser le départ du fils de la vallée.
Le ministre de l’Agriculture, Lam El-Housseini, a été nommé pour succéder à SoKo mais sa nomination, s’est faite au secrétariat général du gouvernement. Ce qui a conduit à élever le rang de secrétaire général du gouvernement, Zeineb Mint Ahmednah, pour devenir ministre dans un secteur indépendant, et elle s’est vu attribuer le travail puisqu’elle possède une longue expérience dans les ministères.
La nomination de Mint Ahmednah à la fonction publique s’est traduit par la nomination de l’ancien ministre de la Fonction publique, Mohamed Ould Abdallah Ould Ethman, au poste de ministre de l’élevage, ministre dont les sorties ont été couronnées de succès au cours de la dernière période.

Chenouf Maloukif

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