Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani : Un second mandat pour transformer la Mauritanie
Le président Ghazouani entame son second mandat avec ambition : réformes, justice sociale, diplomatie active. Une vision lucide pour une Mauritanie stable.
Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani
Par Nanidiay Ould Mohamed Maelainine alias El housseyneine, parti el Insaf
Par-delà les clivages partisans, un constat s’impose : la Mauritanie entame une nouvelle séquence de son histoire politique, sous la conduite d’un homme d’État dont la vision, la méthode et l’attachement au consensus ont su redonner espoir à des millions de citoyens. Le président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, réélu dès le premier tour avec une majorité claire, entame son second mandat avec une légitimité renforcée, une feuille de route ambitieuse et une volonté manifeste de consolidation des acquis.
Ceux qui doutent ou caricaturent son bilan oublient trop facilement que gouverner dans un contexte régional incertain, marqué par les secousses sahéliennes, les crises économiques mondiales et les attentes croissantes d’une population jeune et exigeante, relève du défi permanent. Et pourtant, Ghazouani a maintenu le cap : stabilité politique, réformes sociales, ouverture démocratique, relance économique. Ce n’est pas rien.
Un président de rupture calme et de cohérence
Dès 2019, le président Ghazouani a marqué une rupture nette avec les logiques de confrontation et de verticalité autoritaire qui avaient trop longtemps figé la scène politique nationale. En homme de dialogue, il a tendu la main à toutes les forces vives de la nation, y compris à l’opposition, rompant avec la logique du pouvoir exclusif. L’apaisement, ce mot souvent galvaudé, s’est concrétisé par une détente visible du climat politique, une liberté de parole accrue et une nouvelle dynamique dans les relations institutionnelles.
Il n’a pas promis la lune. Il a promis la méthode, l’écoute, la constance. Et c’est exactement ce qu’il a offert.
Des réformes structurelles, menées avec pragmatisme
Certes, les réformes n’ont pas toutes été spectaculaires. Mais elles ont été structurelles. Dans l’éducation, avec un vaste plan de réforme des curriculums et de valorisation de l’enseignement public. Dans la justice, avec une refonte des textes et la nomination de magistrats plus indépendants. Dans la gouvernance économique, avec une lutte progressive contre les circuits de prédation, une meilleure traçabilité des dépenses publiques, et un soutien accru aux PME.
Le changement n’est pas un slogan pour Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani : c’est un processus patient, enraciné dans les réalités du terrain. Il s’agit de reconstruire des institutions, pas de les repeindre.
Une politique d’infrastructures au service de tous
On lui reproche des grands chantiers visibles ? Mais que voudrait-on à la place ? Que le pays stagne dans l’informel et l’enclavement ? Les projets d’envergure lancés ces dernières années – autoroutes, ports, pôles énergétiques, électrification rurale, assainissement urbain – répondent à une stratégie claire : désenclaver le pays, soutenir la production, rapprocher les services publics des citoyens. Ces investissements sont des leviers pour l’avenir, non des privilèges.
Et contrairement aux discours accusateurs, la transparence progresse. Les appels d’offres sont plus encadrés. Les institutions de contrôle ont été renforcées. Les mauritaniens, partout sur le territoire, commencent à sentir les retombées concrètes de ces efforts.
Une justice sociale pensée dans la durée
Il serait faux – et injuste – de prétendre que rien n’a changé pour les plus vulnérables. Le président Ghazouani a mis en place une politique sociale inédite dans notre histoire : programmes de transferts monétaires, couverture santé pour les plus pauvres, soutien à l’habitat social, scolarisation des enfants des milieux défavorisés. Le programme Taazour est devenu un pilier de cette nouvelle justice sociale, qui ne se limite pas aux discours mais s’exprime dans les actes.
Les défis demeurent, bien sûr. Mais pour la première fois, l’État mauritanien ne se contente pas de gérer la pauvreté : il la combat avec méthode.
Une diplomatie active et respectée
Sous l’impulsion du président Ghazouani, la Mauritanie a retrouvé une place de choix dans les forums internationaux. Elle est écoutée, respectée, courtisée. Son rôle dans le G5 Sahel, sa coopération avec l’Union africaine, l’Union européenne, la Banque mondiale ou le Golfe, témoignent d’une diplomatie intelligente, fondée sur l’équilibre et la souveraineté. Et cette visibilité n’est pas un luxe : elle permet de mobiliser les financements, d’attirer les investisseurs, de sécuriser les frontières, de construire des partenariats utiles.
Un président à l’écoute, un avenir à bâtir ensemble
Les critiques, dans une démocratie, sont légitimes. Mais elles ne doivent pas masquer l’essentiel : la Mauritanie avance. Lentement parfois, mais sûrement. Et ce mouvement doit beaucoup au style de gouvernance du président Ghazouani : sérieux, calme, respectueux des institutions, soucieux de l’unité nationale.
Ce second mandat est une chance historique pour approfondir les réformes, accélérer le développement, et renforcer l’État de droit. Pour y parvenir, il faut de la confiance, du dialogue, de la responsabilité. À ceux qui s’opposent, nous disons : la critique est utile, à condition qu’elle ne devienne pas une posture. Et à tous les citoyens : la Mauritanie a besoin de vous, pas dans le repli, mais dans l’action commune.
La Mauritanie n’a pas besoin de procès d’intention. Elle a besoin de résultats – et d’unité.
Sous la direction de Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, elle dispose d’un leadership lucide, réformateur et rassembleur. Donnons-lui les moyens de réussir. Pour notre avenir commun.
Nanidiay Ould Mohamed Maelainine alias El housseyneine, membre du parti el Insaf