DOSSIER DE PRESSE | STAR OIL Mauritanie : quand la percée est spectaculaire.

DOSSIER DE PRESSE  | STAR OIL Mauritanie : quand la percée est spectaculaire.
La nouvelle vient de tomber. STAR OIL S.A, le géant mauritanien des hydrocarbures a finalisé
ce vendredi 1 er décembre l’acquisition de l’ensemble des titres que TOTAL-ENERGIE détenait
au sein de la Société-Total Marketing Tchad (La Société).
STAR OIL Mauritanie, ne boucle pas la boucle, mais plutôt continue sa percée en Afrique.
Cette société à la tête de laquelle est le mauritanien Tidiani Ben Al Houssein étend donc ses
tentacules sur toute la Zone Afrique de l’Ouest.
La Société mauritanienne continue sa lancée pour devenir le leader incontesté dans
l’importation, la distribution et la gestion logistique des produits pétroliers en Afrique de
l’Ouest.
Déjà présent en Mauritanie (son siège local et national), le Groupe STAR-OIL S.A, s’est
imposé par sa compétence et son ISO de bonne gestion au Mali, en Guinée, au Sénégal, en
Gambie, en Cote d’Ivoire et au Niger.
Au terme de cette cession, la Société mauritanienne, sera renommée au Tchad STAR-OIL
Tchad. A ce titre, les filiales de la Compagnie STAR-OIL Group deviennent de facto
actionnaires de Total Marketing Tchad, Société qui opère au sein d’un important réseau de
stations services en charge de la commercialisation des produits pétroliers, de ses dérivés,
des lubrifiants, mais aussi d’assurer le ravitaillement des avions de lignes et autres aéronefs
en carburant.

La Mauritanie se positionne au Tchad.

La Mauritanienne des hydrocarbures, STAR-OIL S.A s’engage par l’accord conclu, à
poursuivre les activités dans les mêmes conditions que l’ancienne (Total Marketing Tchad-
Société), de respecter les obligations de celle-ci et d’engager sa responsabilité dans les
mêmes conditions, sans interrompre ses activités tant sur le plan légal que sur le plan
juridique.
STAR OIL Group SA Mie, s’engage par ailleurs à travers sa nouvelle filiale tchadienne à
respecter toutes les obligations financières et commerciales de la Société rachetée et de
poursuivre les actions sociales tout en préservant l’environnement.
La Société STAR OIL Mauritanie (STAR OIL Group S.A), par cette percée spectaculaire
devient le leader incontesté dans l’Ouest-Africain, pour son savoir–faire, sa bonne gestion,
sa bonne gouvernance, mais aussi et surtout jouera le rôle d’ambassadeur extraordinaire et
plénipotentiaire économique de la Mauritanie sur le continent africain.

Le Président Directeur Général de STAR OIL Group S.A, le mauritanien Tidiani Ben Al
Houssein, celui qui a forgé par sa patience et sa compétence cette gigantesque machine qui
est devenu le groupe leader dans la distribution des hydrocarbures a noué avec cette activité
en Avril 1990 avec son entrée dans la filiale du Groupe Britannique BP.
13 ans plus tard, en 2003, premiers succès. La Société se « mauritanise » en devenant
STAR-OIL. Elle contracte avec BP, ELF, TOTAL, EXXON-MOBIL, s’enrichissant d’hommes
d’expériences et de savoir-faire.
Aujourd’hui, vingt ans après ses premiers pas dans la Cour des Grands, STAR OIL Group S.A,
donne le gage d’une bonne santé financière et économique des activités commerciales et
industrielles de sa société, une société que son Directeur Général a allaité des ses
compétences et de son savoir-faire.
Le nom du géant des hydrocarbures STAR OIL Mauritanie, se cache derrière le profil d’un
homme humble, très réservé, très compétent et qui aime réellement son pays.
C’est dommage que ce grand dirigeant d’entreprise, (grand comme trois pommes) soit plus
connu et plus distingué dans d’autres pays que dans son propre pays .
Décoré de nombreuses médailles et distinctions au Mali, en Gambie, au Sénégal, en Guinée
et au Niger,
cet homme qui s’était distingué par des décisions de grand patriote lors de
situations difficiles -pour la Mauritanie et à des moments difficiles,
– n’a jamais été ni distingué ni décoré dans son propre pays après 2002,
date à laquelle à l’époque il avait été élevé au grade de Chevalier de l’Ordre National de Mauritanie.
Une injustice protocolaire que l’Etat doit réparer.
Mohamed Chighali
Journaliste indépendant

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