Dialogue à enjeux élevés sur la transformation de l’éducation.
Dialogue à enjeux élevés sur la transformation de l’éducation.
Les chefs d’État et de gouvernement africains se sont réunis à Nouakchott pour un dialogue à enjeux élevés sur la transformation de l’éducation.
Le président rwandais, Paul Kagame, a démontré comment la volonté politique peut se traduire par des actions concrètes, soulignant l’augmentation des dépenses d’éducation de son pays de 11 % à 17 % du budget national.
Cette approche de la mobilisation des ressources a été reprise par le président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, qui a présenté les réformes axées sur la transformation numérique et l’éducation adaptée au marché pour préparer la majorité des jeunes africains à une économie de plus en plus numérique.
La coopération régionale est apparue comme une autre solution clé, le Président algérien, Abdelmadjid Tebboune, annonçant un soutien accru à l’éducation panafricaine.
Cet engagement s’aligne sur les initiatives présentées par d’autres dirigeants pour renforcer les capacités éducatives au-delà des frontières, reconnaissant que les défis continentaux nécessitent des solutions collaboratives.
Le président de la République Mohamed Ould Ghazouani de Mauritanie qui a un cactus dans le jardin a synthétisé ces différentes approches, soulignant comment les déficits d’infrastructures et les impacts climatiques affectent l’éducation à travers le continent.
Son appel à l’action collective reflète la reconnaissance croissante que la transformation de l’éducation nécessite à la fois un engagement national et une coopération régionale, thèmes qui seront au cœur de la prochaine Déclaration de Nouakchott.
L’engagement de haut niveau des chefs d’État africains signale une volonté politique renforcée de relever les défis de l’éducation.