Nouakchott, capitale du sable tendre et des chameaux philosophes
Découvrez Nouakchott sous un angle surréaliste et tendre : dunes qui murmurent, dromadaires philosophes et interviews piégées de célébrités. Un voyage décalé pour aimer la capitale mauritanienne.
La capitale mauritanienne.
À Nouakchott, le vent ne se contente pas de soulever du sable : il soulève des conversations. On dit que chaque grain porte une anecdote, et qu’en se posant sur vos épaules, il murmure un fragment d’histoire. C’est peut-être pour cela que les touristes, une fois arrivés, développent l’impression étrange que la ville leur parle.
Pour comprendre cette capitale, nous avons interrogé, sans prévenir, quelques célébrités égarées entre l’aéroport et le marché aux poissons.
Rencontre avec Brad Pitt au marché aux poissons
Question : « Monsieur Pitt, si vous deviez expliquer Nouakchott à une huître, que lui diriez-vous ? »
Brad Pitt (visiblement troublé, serrant un mulet dans ses bras comme un trophée) : « Je… je suppose que je lui parlerais du soleil… du fait que tout ici a le goût de l’infini. Mais… pourquoi une huître ? »
Réponse improvisée du journaliste : « Parce que les huîtres comprennent mieux les océans que les hommes. »
Il a hoché la tête, comme si tout cela faisait sens, avant de disparaître dans une pirogue.
Beyoncé à l’ombre d’un dromadaire
Question : « Beyoncé, vous êtes assise sous ce dromadaire depuis dix minutes. Est-ce une performance artistique ou un accident diplomatique ? »
Beyoncé : « C’est… c’est confortable, en fait. On dirait que ce chameau médite. »
Le dromadaire, imperturbable, a expiré bruyamment, confirmant qu’il s’agissait bien d’une séance collective de yoga spirituel.
François Hollande, en promenade sur la plage
Question : « Monsieur Hollande, si Nouakchott était une pâtisserie, laquelle serait-elle ? »
François Hollande (souriant avec son sérieux comique habituel) : « Une religieuse au chocolat… parce que tout semble simple, mais il y a toujours deux étages, deux lectures. Comme cette ville : à la fois calme et imprévisible. »
Il a ensuite tenté d’offrir une poignée de sable à une mouette, qui a poliment refusé avant de reprendre son envol.
Conclusion absurde mais sincère
Visiter Nouakchott, c’est accepter de dialoguer avec l’improbable : les dunes qui bougent comme des rideaux timides, les poissons qui se vendent encore frétillants au marché, les dromadaires qui semblent prêts à donner des conférences sur le sens de la vie.
Ici, l’absurde devient tendre, et le décalé devient souvenir. On ne repart jamais indemne de Nouakchott. On repart avec du sable dans les poches et l’étrange conviction que les célébrités, comme les voyageurs, trouvent enfin leur place sous ce ciel immense.
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