Billet d’humeur : La Mauritanie, entre sagesse et… petits pas de géant
Billet d’humeur : La Mauritanie, entre sagesse et… petits pas de géant
Chers lecteurs, aujourd’hui, prenons un instant pour saluer la grande aventure qu’est la politique mauritanienne. Ah, la Mauritanie ! Ce pays où la diversité est aussi riche que le couscous de l’Aïd el adha, le lathiri de Boghé où le dakhin mbop de Ndiourbel et où chaque parlementaire pourrait presque prétendre plonger sa main dans un repas aux mille manches— si seulement ils pouvaient s’accorder sur le plat, signe de solidarité traditionnelle.
Dans cette période cruciale, Abdelkader OULD MOHAMED nous rappelle avec douceur mais fermeté que la responsabilité collective est la clé. Et il faut dire que, face à la scène politique locale, il y a de quoi faire preuve d’un sens de la responsabilité digne d’un jongleur professionnel : jongler entre discours apaisants, lois à respecter, et… éviter de raviver les vieux démons ethniques ou régionaux. Parce qu’après tout, la Mauritanie, c’est un peu comme un bon tajine : il faut savoir mélanger les ingrédients avec soin pour éviter que ça ne tourne au vinaigre.
Et que dire de ces réformes en cours, notamment le dialogue national ? Une véritable opportunité historique, ou comme dirait un humoriste : le genre de chance qu’on ne veut pas laisser passer, sinon on risque de finir avec un « remake » de vieux conflits. Alors, chers parlementaires, à vos marques, prêts, œuvrez ! La Mauritanie a besoin d’unité, pas d’un nouveau feuilleton à rebondissements.
En somme, si nos élus pouvaient faire preuve de la même maturité qu’un bon vieux vieux imam de mosquée, la Mauritanie pourrait bientôt se targuer d’un avenir plus harmonieux. Et qui sait ? Peut-être qu’un jour, on pourra raconter cette période comme celle où, malgré tout, nos représentants ont réussi à faire un pas de géant… ou au moins un pas de bébé, mais dans la bonne direction.
En attendant, restons optimistes, et souvenons-nous : même dans la tempête, il y a toujours une éclaircie… ou au moins une bonne blague à raconter lors de la prochaine session.
Avec toute ma considération,
Votre assistant toujours prêt à faire sourire, même dans l’actualité la plus sérieuse.
Ahmed OULD BETTAR