L’honorable député et président Biram
L’HONORABLE DÉPUTÉ ET PRÉSIDENT BIRAME…SON Objectif libération de quatre à cinq millions d’individus, sous le joug de l’esclavage d’un système politique, militaro-tribalisme qui dirige la Mauritanie vers un mur d’acier électrifié.
Un système qui a dirigé la Mauritanie, depuis mille neuf cent soixante sur des bases tribalistes, racistes et paganistes; malgré toute sorte de médicaments contre-nature pour avoir une République…
Le seul remède à cause de l’entêtement des politiques, les coups d’État ou les coups des « temps », puisque chaque temps et ses coups, et chaque tribu, et son « temps ».
Chez Birame ou plutôt le Leila House, vivent des centaines d’anciens esclaves libérés, le mot Hratines n’est pas approprié puisque le Mouvement Berbère Africain, revendique l’étymologie du nom et son attribution… Certains de ses hommes après le BAC suivent un enseignement scolaire, certains au Sénégal, et ceux qui trébuchent à l’âge scolaire ou avec l’école moderne, ont étaient orientés à la Mahadra que l’HONNORABLE DÉPUTÉ BIRAME supporte en Catimini. Le soutien de BIRAME pour les malades du CANCER, indéfectible reste gravé, comme son rôle de soutien aux démunis préfèrant souvent le mutisme.
OULD ABEID, n’est pas seulement un homme politique féroce, mais un homme très intelligent qui sait là où manger de L’omoplate (ketiv)… En parlant du président, nous trouverons plusieurs personnalités, un humain pour tous, un homme politique, un libérateur, un sauveur, un père de famille très attaché à sa famille, très attentif, mais surtout un homme de vergogne et de principes. Son attachement au FLAM, doit être une fierté, puisque diabolisés plus que les BASSISTES de Michel Avlagh le mecroyant, BIRAME reste le seul d’une communauté Mauresque, qui comprend que nos frères noirs sont Mauritaniens comme nous, mais marginalisés et stigmatisés et ils ont le droit au respect et à leurs droits civiques. Donc un futuriste qui voit que l’unité nationale doit être vraie et non un spot politique, à la manière du Zrigue nationale.
L’Africain…
