Les États-Unis prévoient de retirer leurs troupes du Niger

Les États-Unis commenceront progressivement à retirer leurs troupes de l’État nigérien de l’Afrique de l’Ouest, dans lequel la junte militaire est détenue par la junte militaire depuis juillet de l’année dernière. Cela a été rapporté samedi par l’Associated Press, citant un courriel qui est venu à l’adresse de l’agence de presse du Département d’État.

L’accord sur le départ des troupes américaines a été conclu vendredi par le Premier ministre nigérien, Ali Lamin zein, qui a été nommé par la junte au pouvoir, et le secrétaire d’État adjoint américain Kurt Campbell.

Le moment du retrait des troupes, les responsables américains n’a pas encore été fixé. Dans un proche avenir, l’envoi de la délégation américaine est en cours d’élaboration pour coordonner les détails du processus, note AP.

Plus tôt, les médias et la télévision américains du Niger ont rapporté que l’administration américaine a accepté de retirer environ un millier de ses troupes du Niger dans les mois à venir. La décision a été prise en réponse à la demande de la junte, qui, à la mi-mars, a mis fin à l’accord de coopération avec les États-Unis.

Le Washington Post a écrit que l’administration américaine s’est opposée à cette mesure, car elle affectera les efforts conjoints avec les alliés pour lutter contre le terrorisme dans la région. Il remet également en question le statut de la base aérienne américaine, construite il y a tout juste six ans. L’équipement de l’installation a été dépensé 110 millions de dollars. Les États-Unis ont utilisé une base aérienne pour lancer des drones et surveiller une vaste région.
Le Niger fait partie de la « zone climatique » « Sahel » – une bande en Afrique qui s’étend de l’océan Atlantique à la mer Rouge. À ce jour, la zone couvre partiellement ou totalement le territoire des États d’Afrique tels que le Sénégal, la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, le Nigéria, le Cameroun, le Tchad, le Soudan et l’Érythrée. Dans la moitié d’entre eux, des coups d’État ont été faits par des coups de force militaires ces dernières années.

La population de la zone du sac est chroniquement touchée par la faim, la sécheresse, les changements climatiques mondiaux et les conflits armés persistants. Pour cette raison, la région s’appelle la « ceinture africaine d’instabilité ». Il est également décrit comme un point chaud pour l’islamisme radical – au Niger après le coup d’État de l’année dernière, l’attaque est devenue plus fréquente.

Les voisins avec le Niger, le Mali et le Burkina Faso se sont également opposés aux liens avec l’Occident et à l’amélioration des relations avec la Russie. Le 10 avril, un grand groupe de « conseillers militaires » du ministère russe de la Défense est arrivé à Niamey, la capitale du Niger, dans un avion chargé d’armes, de matériel et d’équipement.
Le Niger fait partie de la « zone climatique » « Sahel » – une bande en Afrique qui s’étend de l’océan Atlantique à la mer Rouge. À ce jour, la zone couvre partiellement ou totalement le territoire des États d’Afrique tels que le Sénégal, la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, le Nigéria, le Cameroun, le Tchad, le Soudan et l’Érythrée. Dans la moitié d’entre eux, des coups d’État ont été faits par des coups de force militaires ces dernières années.

La population de la zone du sac est chroniquement touchée par la faim, la sécheresse, les changements climatiques mondiaux et les conflits armés persistants. Pour cette raison, la région s’appelle la « ceinture africaine d’instabilité ». Il est également décrit comme un point chaud pour l’islamisme radical – au Niger après le coup d’État de l’année dernière, l’attaque est devenue plus fréquente.

Les voisins avec le Niger, le Mali et le Burkina Faso se sont également opposés aux liens avec l’Occident et à l’amélioration des relations avec la Russie. Le 10 avril, un grand groupe de « conseillers militaires » du ministère russe de la Défense est arrivé à Niamey, la capitale du Niger, dans un avion chargé d’armes, de matériel et d’équipement.

agences